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Plan de l'article
- La sécurité exige que la conduite d’un camion lourd soit soumise à des obligations réglementaires. Les permis et la formation sont des passages obligatoires, bien que obligatoires, mais indispensables.
- Nous vous offrons un aperçu des réglementations associées à la conduite de ces véhicules.
- abord, attardisons sur le permis de conduire associé à cette utilisation : le permis C et les titres correspondants. Tout d’
- Autoriser C : Accès conventionnel conduite de camion
- documents
- Compétences médicales
- Tests théoriques et pratiques
- Autoriser C au fil du temps
- certificats, diplômes ou références professionnelles : accès supplémentaire à la conduite de camions
- Exigences médicales selon la catégorie de véhicule
- Renouvellement des licences C
La sécurité exige que la conduite d’un camion lourd soit soumise à des obligations réglementaires. Les permis et la formation sont des passages obligatoires, bien que obligatoires, mais indispensables.
Nous vous offrons un aperçu des réglementations associées à la conduite de ces véhicules.
abord, attardisons sur le permis de conduire associé à cette utilisation : le permis C et les titres correspondants. Tout d’
L’ accès à un véhicule lourd (PL), c’est-à-dire un véhicule dont le poids maximal admissible (PTAC) est supérieur à 3,5 tonnes et qui ne se limite pas à l’utilisation de véhicules publics, peut se faire de deux façons :
— par l’obtention d’une licence de classe C, qui, selon la période de délivrance, a une seule dénomination et fournit les possibilités de conduire ;
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— par l’obtention d’un diplôme équivalent.
Dans la plupart des cas, ce titre n’est pas suffisant pour recevoir ce titre et doit être complété par une formation de conducteur (type FIMO ou FCO) (1).
À noter que le Code de la route distingue dans la catégorie N deux types de poids lourds destinés et construits pour le transport de marchandises (article R311-1) : le premier (N2) d’un poids maximal de plus de 3,5 tonnes et inférieur ou égal à 12 tonnes. Le second (N3) pour un poids total maximal supérieur à 12 tonnes.
En particulier, quelles sont les exigences pour un permis de conduire de catégorie C obtenu en réussissant les tests pour ce permis ou en obtenant un titre équivalent ?
Autoriser C : Accès conventionnel conduite de camion
façon la plus courante de conduire un véhicule lourd est de passer un permis de conduire de catégorie C. Depuis la dernière réforme du permis de conduire en 2013, il y en a quatre : C, C1, C1E et CE. La
Les licences C1 et C1E remplissaient la classe C, tandis que la licence EC a été remplacée par l’approbation CE.
- licence C permet l’exploitation La d’autres véhicules des catégories D et D1, véhicules de transport en commun avec un PTAC de plus de 3,5 tonnes (conçu et construit pour transporter jusqu’à huit passagers, en plus du conducteur). Les véhicules de cette catégorie peuvent être attelés à une remorque dont le PTAC n’excède pas 750 kg.
- L’ homologation C1 permet la conduite de véhicules automobiles autres que celles des classes D et D1 ayant un CTAG supérieur à 3,5 tonnes, pas plus de 7,5 tonnes (conçu et construit sur le même châssis qu’auparavant). Les véhicules de cette catégorie peuvent être attelés à une remorque dont le PTAC n’excède pas 750 kg.
- L’ homologation C1E permet l’utilisation de véhicules de la catégorie C1 attelés à une remorque ou à une semi-remorque dont le PTAC est supérieur à 750 kg. Il permet également l’utilisation de véhicules de classe B couplés à une remorque ou à une semi-remorque dont le CTAC est supérieur à 3 500 kg. La masse totale de levage (PTRA) homologuée des ensembles de véhicules de la catégorie C1E ne doit pas dépasser 12 tonnes. Il permet également la conduite de véhicules des catégories BE et D1E, à condition qu’ils soient en possession de la catégorie D1 du permis de conduire.
- L’ homologation CE permet l’utilisation de véhicules de la catégorie C équipés d’un les remorques ou semi-remorques sont couplées avec un CTAC supérieur à 750 kg. Il permet également de conduire des véhicules des catégories BE et DE, à condition qu’ils soient en possession de la catégorie D du permis de conduire.
Enfin, il convient de noter que l’administration admet que l’exploitation de tracteurs découplés n’exige que l’autorisation C (Circulaire ministérielle 96-06 du 4 janvier 1996).
En particulier, pour avoir le droit de passer un permis de conduire de catégorie C, le candidat doit se conformer à diverses conditions administratives ou médicales. Il doit également subir les épreuves théoriques et pratiques du permis convoité.
documents
requis Le demandeur qui souhaite transférer la licence doit être âgé de 18 ans pour les catégories C1 et C1E et 21 pour les catégories C et CE : d’avoir des années.
S’ il s’agit de la première personne à obtenir un permis de conduire, les personnes de moins de 21 ans doivent également être titulaires du certificat de sécurité routière des écoles de deuxième niveau (ASSR) ou du certificat de sécurité routière.
Selon les cas spécifiques de chaque candidat, des documents supplémentaires sont requis :
— pour une demande de titre après avoir réussi un examen de permis de conduire, une photographie ou une copie numérisée du certificat d’examen du permis de conduire (CRC),
- pour les candidats titulaires d’un permis de conduire français ou ayant été autorisés par un État membre de l’Union européenne ou de l’Espace économique européen depuis moins de cinq ans, une photographie ou une copie numérisée de l’original de son titre ;
- pour les demandeurs d’une licence de catégorie C, une copie photographiée ou numérisée du Originaux : Licence B, pour les candidats des catégories C1 et C ; licence C, pour les candidats de classe C ; et C1 pour les candidats C1E.
Par conséquent, seul le titulaire d’une licence B peut obtenir une licence C, CE, C1 ou C1E.
Compétences médicales
Les différents permis de conduire de catégorie C ne peuvent être obtenus que grâce à des conseils médicaux favorables.
L’ examen médical de l’aptitude à la conduite consiste en une évaluation des effets physiques, cognitifs et sensoriels du candidat à un permis de conduire de l’une de ces catégories. Il existe deux groupes de conducteurs ayant des normes plus strictes pour les candidats appartenant aux conducteurs C et D (voir encadré 1).
Le formulaire sur lequel le certificat médical , qui a été délivré à la fin de l’examen médical, a une validité administrative de deux ans. Les titulaires d’un permis de conduire d’une ou de plusieurs catégories de durée limitée souhaitant renouveler la ou les catégories doivent subir un examen médical de leur propre initiative avant que la période de validité spécifiée dans leur permis ne soit respectée. La prolongation est subordonnée à l’achèvement de cet examen médical.
Si les usagers ont été identifiés par le préfet comme aptes à conduire, après avis médical sur la base d’un examen médical, la ou les catégories de permis peuvent être renouvelées à nouveau :
- ou pour la fréquence prescrite en fonction de l’âge du conducteur (5 ans pour les conducteurs de moins de 60 ans, deux ans à partir de 60 ans et un an à partir de l’âge de 76 ans) ;
- pour le le délai fixé après l’examen médical en cas de délivrance d’une catégorie à validité limitée ;
- à l’anniversaire de son 60e anniversaire pour un conducteur âgé de 55 ans ou plus ;
- jusqu’ à l’anniversaire de son 76 ans de vie pour un conducteur âgé de 74 ans et plus.
Dans le cas de la délivrance d’un permis de conduire avec une restriction de validité, son titulaire subit un examen médical régulier.
En revanche, le refus est soumis à un examen médical est dûment établi un mois après la première injonction sans effet, sans raison valable. L’extension devient impossible jusqu’à ce que ledit avis médical positif soit donné.
Tests théoriques et pratiques
Dans le cadre pour le transit des permis de conduire C, C1, CE et CE1, les demandeurs doivent s’inscrire auprès de :
- Un test théorique général d’aptitude à l’épreuve pratique, portant sur la connaissance des règles relatives à la circulation et à la conduite d’un véhicule et à la bonne conduite à adopter par le conducteur.
Les candidats titulaires d’un permis ou d’un permis de conduire français sont exemptés de l’épreuve théorique générale, jusqu’à cinq épreuves de compétence par catégorie délivrées par un État membre de l’Union européenne ou de l’Espace économique européen, à condition que le dernier soit délivré depuis la date de la rentrée. catégorie aucune période maximale de cinq ans n’a été écoulée.
L’ éligibilité est accordée en cas de changement de formation ou de catégorie de permis de conduire.
- Un test pratique pour l’admission au Autorisation de vérifier les connaissances, les compétences et le comportement des candidats nécessaires pour voyager en toute indépendance et en toute sécurité, en tenant compte des caractéristiques spécifiques de chaque véhicule.
Seuls les candidats ayant obtenu un résultat favorable à l’examen théorique général sont autorisés à réussir ce test. Si le candidat n’a pas subi un examen médical avant l’examen, l’enquêteur doit effectuer un test oculaire destiné à détecter une éventuelle altération. Un représentant de l’établissement d’enseignement pour la conduite et la sécurité routière ou, dans le cas d’un candidat libre, une personne titulaire d’un permis de conduire dans la catégorie du véhicule présenté, doit passer le test de compétence.
Dans le cas des permis de classe C, le test de compétence doit comprendre un test de panne de circulation (HC) appelé « plateau » ; un essai de circulation (CIR). La durée des tests est la suivante :
- 30 minutes pour les essais hors route des véhicules des catégories C1 et C ;
- 60 minutes pour les essais hors route des véhicules des catégories C1E et CE ;
- 60 minutes pour l’essai en circulation.
Le test hors cycle consiste en un interrogatoire basé sur les connaissances théoriques du candidat et un test pratique, qui comprend des contrôles de sécurité de routine, l’accouplement et le découplage pour les catégories C1E et CE, la manœuvrabilité, mais aussi une enquête orale (à l’exception de les catégories C1 et C1E) sur la connaissance théorique de la sécurité et la capacité des candidats à adapter leur comportement à des situations complexes.
Un résultat favorable de l’essai hors circuit est nécessaire pour faire circuler l’essai exister. Le candidat maintient un résultat favorable hors cours pour trois événements exceptionnels, à condition qu’un an ne se soit pas écoulé plus d’un an depuis la fin réussie de l’événement hors circulation. Dans la pratique, l’événement en circulation se déroule sur différents itinéraires. Parmi les exercices à effectuer, le candidat doit inclure :
- Quittez un parking et partez après un arrêt
- prendre des routes droites, négocier virage ;
- Utiliser des changements de direction, d’intersections, d’accélération et de décélération ;
- effectuer un itinéraire via des routes urbaines, routières et/ou routières ;
- dépassement et véhicules transvéhicules ;
- Prenez les précautions nécessaires avant de quitter le véhicule.
Un résultat favorable pour cet événement exceptionnel conduit à passer l’examen. Selon la catégorie demandée et le type de transfert utilisé, un certificat de permis de conduire (CRC) sera alors délivré au demandeur par la poste ou par courrier électronique (adresse électronique ou adresse web dédiée). La délivrance de la CRC sur avis favorable permet de conduire des véhicules selon la catégorie d’immatriculation demandée. Dans le cas d’une inspection, le certificat, accompagné d’un certificat attestant son identité, sert de permis de conduire sur le territoire de l’État pendant une période de quatre mois à compter de la date de l’enquête. Il est ensuite remplacé par le titre final, qui peut contenir des restrictions sur l’utilisation de contrôles médicaux pour l’aptitude à conduire.
Toute erreur dans l’épreuve qui est hors circulation ou en circulation est considérée comme un échec à l’épreuve de compétence. Après tout, en cas de succès, le candidat peut être ou l’échec d’un test, ne pas effectuer le test suivant dans un délai inférieur à deux jours (à compter d’aujourd’hui) pour lequel il est organisé par l’autorité de gestion.
Autoriser C au fil du temps
Le contenu de la catégorie C du permis de conduire a considérablement évolué depuis 1954, date à laquelle les différentes catégories de permis (6 dans le nombre) ont été introduites, selon le type de véhicule. Cependant, il est nécessaire de distinguer différentes périodes de temps pour obtenir une licence de catégorie C afin que chaque titulaire, quelle que soit la date à laquelle il l’a reçue, puisse savoir quelles catégories de véhicules l’autorise à conduire aujourd’hui. Deux périodes antérieures à la réforme de 2013 sont distinguées :
Homologations pour véhicules lourds obtenues avant le 1er juillet 1990.
la catégorie C d’un permis de conduire acquis avant le 20 janvier 1975, la catégorie C1 acquise entre le 20 janvier 1975 et le 31 décembre 1984, ou la catégorie de permis de conduire acquise entre le 1er janvier 1985 et le 1er juillet 1990, approuve l’exploitation de tous les véhicules destinés au transport de marchandises. Ils autorisent également l’exploitation de véhicules de transport en commun sur des itinéraires de plus de 50 km, à condition que les conditions d’expérience du conducteur ou de formation des conducteurs soient remplies.
En revanche, la catégorie C de la licence acquise entre le 1er janvier 1985 et le 1er juillet 1990, acquise entre le 1er janvier 1985 et le 1er juillet 1990, permet de conduire les véhicules suivants utilisés pour le transport de marchandises :
- les véhicules isolés dont le PTAC est supérieur à 3,5 tonnes ;
- Véhicules dont les PTRA pour le remorquage de véhicules d’une l’ensemble de véhicules ou le véhicule tracteur d’un ensemble articulé ne dépasse pas 12,5 tonnes.
La mise en œuvre de ces différents permis donne droit à des équivalences, c’est-à-dire qu’elle permet au titulaire de conduire des véhicules que seul le titulaire d’un permis particulier peut conduire.
Agréments pour véhicules lourds obtenus entre le 1er juillet 1990 et le 18 janvier 2013.
Dans le cadre de la réforme du permis de conduire de 1990, deux grandes catégories de permis de véhicules utilitaires lourds ont été créées, distinguant la conduite d’un véhicule isolé ou d’un véhicule articulé. La catégorie C permet l’utilisation de véhicules automobiles isolés dont le PTAC est supérieur à 3,5 tonnes, à l’exception des voitures de tourisme publiques attelées à une remorque dont le CTAC n’excède pas 750 kg. La catégorie CE du permis de conduire permet de conduire des véhicules de catégorie C en conjonction avec une remorque de plus de 750 kg PTAC.
De l’As antérieurement, la détention de ces différents permis permet de conduire des véhicules que seul le titulaire d’un permis de conduire particulier peut conduire.
Les équivalences des permis de conduire obtenus avant le 18 janvier 2013 sont soumises aux tableaux d’équivalence figurant à l’annexe II du décret du 20 avril 2012 fixant les conditions d’établissement, de délivrance et de validité du permis de conduire. Ils permettent de savoir quelles catégories de véhicules il peut conduire à partir de la date d’obtention du permis de conduire.
Une fois qu’une licence de catégorie C a été obtenue, sa durée de validité est limitée dans le temps et doit être renouvelée régulièrement pour maintenir sa validité. Le La durée totale des titres a également été raccourcie depuis 2013 (voir encadré 2).
certificats, diplômes ou références professionnelles : accès supplémentaire à la conduite de camions
Cela peut sembler surprenant, mais il est possible d’obtenir un permis de conduire pour les véhicules lourds sans avoir à passer les tests de permis de conduire pour les véhicules de classe C.
C’ est le cas lorsqu’ils sont remplacés par l’obtention d’un titre particulier.
Deux certificats, un diplôme et deux certificats professionnels permettent l’accès à certaines licences de catégorie C.
- Le certificat d’aptitude professionnelle « Fournisseur de biens », qui est prévu dans le décret du 18 Juin 2010. Depuis 2012, il y a accès aux catégories B et C du permis de conduire sans examen plus approfondi. En ce qui concerne le certificat d’aptitude professionnelle des « marchandises de transport routier de voyageurs » prévu par le décret du 21. Depuis juin 2007, depuis 2013, elle accorde l’accès aux catégories B, C et CE du permis de conduire sans examen ultérieur.
- En ce qui concerne le diplôme, depuis 2013, le « transport routier de conducteur » professionnel Abitur, institué par le décret du 3 juin 2010, donne accès aux catégories B, C et CE du permis de conduire sans examen ultérieur depuis 2013. Dans le cas où les deux certificats ci-dessus ne sont pas obtenus, les candidats concernés peuvent être délivrés sur présentation du Baccalauréat professionnel « Transport routier de conducteur » ou du CAP « transporteur de marchandises » d’un permis de conduire de catégorie C, à condition que les trois conditions suivantes soient remplies :
— ont atteint l’âge de 18 ans ;
— le avoir passé les tests du permis de conduire conformément à la catégorie concernée ;
— être présentés dans tous les tests de diplôme.
- Enfin, deux certificats professionnels délivrés sous la supervision du ministre chargé de la formation professionnelle permettent notamment d’être obtenus sans examen ultérieur :
— le permis de conduire de catégorie C pour le titulaire du titre professionnel du conducteur du transport de marchandises par route,
— permis de conduire de catégorie CE pour le titulaire du titre professionnel de conducteur de transport routier de marchandises sur tous les véhicules.
Toute personne souhaitant obtenir la ou les catégories de permis de conduire correspondant à la formation obtenue pour les certificats, diplômes ou qualifications professionnelles susmentionnés est responsable : Préfets du département où il réside — le téléservice signifie « Demande de permis de conduire ».
Cependant, les certificats et le baccalauréat peuvent être remplacés par un relevé des grades obtenus lors des épreuves de diplôme délivrées par le recteur de l’Académie. Les deux titres professionnels peuvent être remplacés par un certificat de réussite délivré par le directeur régional de l’entreprise, de la concurrence, de la protection des consommateurs, du travail et de l’emploi. Si l’un de ces certificats, diplômes ou qualifications professionnelles est obtenu, le permis de conduire ne peut être obtenu que si l’intéressé a 18 ans.
Le bénéfice des dispositions visées aux présents paragraphes peut être prorogé pendant la période pendant laquelle le demandeur :
— privé du droit de conduire par une décision de suspendre une licence antérieure, ou annuler, ou si ce dernier a perdu sa validité en raison de la perte de tous les points de son permis de conduire ;
— sous réserve d’une interdiction lors de la demande ou de l’obtention d’un permis de conduire.
En cas d’obtention de l’un des certificats, titres ou diplômes susmentionnés, le permis de conduire peut être obtenu si le demandeur est âgé d’au moins 18 ans dans les catégories C et CE. Pour les mêmes catégories, en cas de non-respect des deux qualifications professionnelles, le permis de conduire ne peut être obtenu que si le candidat a 21 ans.
Cependant, dans le cas de l’acquisition du diplôme d’études secondaires professionnelles « équipement de transport routier du conducteur », à partir de l’âge de 18 ans, la catégorie C du permis de conduire peut être délivrée si le candidat a reçu le diplôme intermédiaire, à savoir les marchandises de transport de la PAC.
Enfin, nous allons Déterminer que les conducteurs qui ont obtenu la délivrance de catégories de permis de conduire en validant le diplôme, le certificat ou les qualifications professionnelles et dont le permis de conduire a été annulé par la suite ne doivent pas récupérer les avantages de ces dispositions si le même diplôme, certificat ou professionnel qualifications.
partie 2 ici Hervé Brizay, avocat TUTOR SEPR Groupe Pôle Prévention
Retrouvez cet article dans le numéro 430 du Journal d’information et d’analyse du code routier : « La prévention routière dans l’entreprise »
( 1) Nous reviendrons à la formation FIMO et FCO dans la prochaine édition de La PRE.
( 2) La photo de signature numérique (appelée e-photo) peut être obtenue auprès de photographes professionnels et de stands agréés, qui peuvent être identifiés par une vignette bleue avec l’indication « Certified ANTS Online Services ».
Exigences médicales selon la catégorie de véhicule
Selon la catégorie de véhicule pour laquelle la licence est présentée, le demandeur n’a pas besoin de satisfaire aux mêmes exigences médicales pour y accéder. La directive 2006/126/CE du 20 décembre 2006 relative au permis de conduire classe les conducteurs en deux groupes : si le groupe 1 se réfère aux conducteurs des catégories A, A1, A2, AM, B, B 1 et BE, le groupe 2 couvre tous les autres (et en particulier tous les permis de catégorie C).
Par exemple, les conditions de validation d’un permis de conduire varient considérablement en termes de vision, selon que le candidat appartient au groupe 1 ou 2. Dans le premier cas, le demandeur de délivrance ou de renouvellement d’un permis de conduire doit avoir une acuité visuelle binoculaire avec correction optique d’au moins 0,5, le cas échéant, avec les deux yeux. S’ils appartiennent au groupe 2 (tous les demandeurs de licence du Catégorie C), ils doivent avoir une acuité visuelle des deux yeux, avec correction optique le cas échéant, d’au moins 0,8 pour le meilleur œil et d’au moins 0,5 pour l’œil le moins bon. Si les valeurs de 0,8 et 0,5 sont obtenues par correction optique, la netteté non corrigée des deux yeux doit être de 0,05 ou la correction de netteté minimale (0,8 et 0,5) doit être obtenue au moyen de lentilles de lunettes dont le rendement ne doit pas dépasser 8 dioptries (dispositif de puissance optique pour quantifiant l’importance du défaut optique) ou à l’aide de lentilles de contact. Le seuil de vision non corrigée doit être de 0,05.
Renouvellement des licences C

Les certificats délivrés avant le 19 janvier 2013 restent valables pour l’exploitation des catégories de véhicules auxquelles ils se rapportent, au plus tard le 19 janvier 2033. Toutes les équivalences auxquelles ces autorisations s’appliquent sont : territoire français, même si elles ne sont pas mentionnées dans ces titres. Un nouveau modèle de permis de conduire (annexe III du décret du 20 avril 2012 fixant les conditions d’établissement, de délivrance et de validité du permis de conduire) sera remplacé par des modèles anciens délivrés avant le 19 janvier 2033 pour les permis de conduire délivrés avant le 19 janvier 2013. À compter du 16 septembre 2013, il est impératif de renouveler le titre initialement accordé par approbation après 2013 dans les cas suivants : perte ou vol, détérioration de l’original, renouvellement de la catégorie, changement d’état matrimonial, suspension ou annulation d’une catégorie par le préfet de pour des raisons médicales.
En ce qui concerne les autorisations accordées après le 19 janvier 2013, leur renouvellement s’effectue sur la base de toute modification des informations relatives aux valeurs mobilières ou à la fin de leur période de validité ; en tout état de cause tous les quinze ans à compter de la date d’émission.
En outre, seules les personnes dont la licence valide fait l’objet d’un renouvellement médical périodique peuvent recevoir un duplicata en cas de perte, de vol ou de détérioration de leurs biens, qui expire le même jour que le titre remplacé.
La validité du permis ne peut être prolongée qu’après que l’avis médical a été établi par un conseiller médical agréé en dehors du conseil médical. La demande de prolongation doit être adressée au préfet du service d’attache du conducteur. Jusqu’à ce qu’elle soit décidée par le préfet dans les conditions fixées au nom du ministre chargé de la sécurité routière, notamment en ce qui concerne les procédures et les délais, et si l’intéressé n’est pas présent, l’autorisation reste provisoirement maintenue Valide. Il est fortement conseillé aux conducteurs de fixer leur rendez-vous médical plusieurs mois avant la date d’expiration de leur permis, compte tenu des délais de traitement plus longs pour délivrer les autorisations.
Un conducteur titulaire de l’un des permis de conduire actuellement en vigueur, après avoir obtenu un permis de conduire ou son permis de conduire, est assujettie à une condition qui l’exige pour tenir compte de son handicap physique et doit revalider son permis de conduire en consultant un médecin.